Priscila De Carvalho, Villes (In)visibles

Jamaica Center, New York (USA)

24.06 - 21.08.2010
















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Communiqué de presse


L'exposition de Priscila De Carvalho, Villes (In)visibles, ouvre le 24 juin au Jamaica Center for Arts & Learning Gallery (JCAL) de New York et va présenter ses nouvelles oeuvres crées pendant sa résidence d'artiste à l'atelier du JCAL.


"D'un bout à l'autre, l'invisibilité de ces villes semble se poursuivre, dans les lumières, dans la perspective, répétant son vocabulaire d'images: mais cependant il n'a pas d'épaisseur, il ne s'agit que d'un visage et son revers, comme une feuille de papier avec ce visage de chaque côté, qui ne peut en même temps ni être séparé ni regarder l'autre."













































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Exposition du 7 septembre au 2 novembre 2012. Rio de Janeiro, divers lieux (Brésil).

© ArtCatalyse International / Marika Prévosto 2012. Tous droits réservés


Expositions internationales en cours

Le nom OiR, "Rio" épelé à l'envers, se réfère précisément à l'idée de penser à la ville d'une autre manière. Le projet vise à relancer et rafraîchir la tradition d'appeler le regard d'un étranger sur le paysage de Rio de Janeiro, initiée lorsque les aventuriers et les explorateurs européens des premières expéditions ont amarré leurs bateaux dans la baie pour tenter d'explorer et de traduire les mystères de ce nouveau territoire. Plus récemment, cette tradition a été reprise dans les essais de penseurs illustres tels que l'anthropologue franco-belge Claude Lévi-Strauss et l'écrivain autrichien Stefan Zweig.

Selon Dantas, l'art public a aussi un aspect social important, car « il rassemble les gens de différentes classes sociales autour d'un concept qui leur redonne la faculté d'ouvrir les yeux à la nouveauté et à leur patrimoine propre, tout en créant des espaces uniques, des lieux de réunion et des points de repère dans la ville. »

Les oeuvres réalisées dans la phase initiale du projet sont inspirées par le thème "Le Milieu", qui, selon les mots du conservateur, se concentre sur « l'espace que nous occupons, ce qui nous unit.. »







Archives 2010

Exposition du 24 juin au 21 août 2010. Jamaica Center for Arts & Learning Gallery, 161-04 Jamaica Avenue - NY 11432 New York (USA). Tél.: 718-658-7400.



Beuys : Le plan énergie

Museum Schloss Moyland (Deutschland)


05.09.2010 - 20.03.2011






































































































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Archives 2010


Beuys : Le plan énergie, Museum Schloss Moyland

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Traduction du communiqué de presse




Pour la première fois, une exposition est consacrée au concept central de Joseph Beuys, le "Plan Energie". Joseph Beuys a développé ce concept dans l'ensemble de son oeuvre graphique des années 1950 et 1960.




L'exposition présente une sélection de quelque 200 dessins au Musée du château Moyland. Certains sont restés inédits jusque là; ils sont présentés en dix sections différentes dédiées à l'idée force de ces oeuvres: le "plan énergie". Le Musée du château Moyland abrite la plus grande collection au monde des premières oeuvres de Joseph Beuys.








Exposition du 5 septembre 2010 au 20 mars 2011. Museum Schloss Moyland, Am Schloss 4 - 47551 Bedburg-Hau /Kleve.



Priscila De Carvalho, Villes (In)visibles, Jamaica Center, New York

© ArtCatalyse International / Marika Prévosto 2012. Tous droits réservés

Priscilla Carvalho, (In)visible Cities, vue des installations de l'artiste au Jamaica Center for Arts & Learning Gallery (JCAL) de New York, 2010 © Photo courtoisie de l'artiste

Priscilla Carvalho, (In)visible Cities, vue des installations de l'artiste au Jamaica Center for Arts & Learning Gallery (JCAL) de New York, 2010 © Photo courtoisie de l'artiste

Extrait du texte d'Italo Calvino, Les Villes invisibles

"Villes (in)visibles constitue une installation in situ réalisée pour la galerie du JCAL. Á notre époque de mondialisation et de progrès technique, l'écart entre riches et pauvres ne cesse d'augmenter et la pauvreté mondiale se trouve souvent masquée derrière l'événementiel et les projets futuristes annoncés dans les médias.

Le projet de Pricila De Carvalho met l'accent sur la pauvreté toujours croissante au niveau mondial qui amène la question du "quoi faire?". L'installation se compose de quelques peintures grand format - techniques mixtes - et d'une structure sous forme de ponts reliant les peintures entre elles. Ces ponts, fabriqués en bois, représentent les passages, les escaliers incertains et fragiles toujours présents dans les favellas du Brésil. Les peintures utilisent des matériaux recyclés, du bois, de la peinture de bâtiment, des collages de photographies prises dans le Queens.

En pénétrant dans la galerie, les visiteurs sont confrontés à un monde chaotique, complexe, paradoxal, où trouver son chemin peut à la fois devenir inquiétant et stimulant."